Maine-et-Loire. L’Association généalogique de l’Anjou ouvre ses portes à Angers ce samedi 11 juin
L’Association généalogique de l’Anjou ouvre ses portes ce samedi 11 juin dans ses locaux au 6, rue Emile-Bordier à Angers. Une opération qu’elle compte réitérer de façon régulière, au-delà de ses permanences hebdomadaires.
C’est une opération qu’elle espère réitérer régulièrement, au rythme d’une fois par mois. Ce samedi 11 juin, l’Association généalogique de l’Anjou (A.Gen. A) ouvre ses portes à Angers. Une initiative vouée au plus grand nombre pour attirer, aussi, une population en activité, appelle de ses vœux le président Jean-Paul Augelle. Pour l’A.Gen. À, l’occasion est donnée, dit-elle, d’initier à la généalogie ceux qui ne connaissent pas, faire de l’entraide auprès des autres, présenter la base de données du Maine-et-Loire, la deuxième ou troisième de France en termes d’importance avec 5,35 millions d’actes (naissances, baptêmes, mariages, sépultures) et plus de 6 millions début 2023.
L’association, qui fêtera bientôt ses 50 ans, prépare également un événement d’ampleur : un grand salon de la généalogie qui se tiendra les 13 et 14 mai aux Greniers Saint-Jean à Angers. Le thème choisi, « Généalogie et végétal en Anjou », sera prétexte à faire le lien avec ces figures connues, à l’image des rosiéristes. Dans chacune de nos antennes (Mazé, Baugé, Saumur, Beaupréau, N.D.L.R.), nous traiterons d’un point particulier, note Jean-Paul Augelle, qui travaille également avec l’association sur l’hypothèse de faire créer une rose pour l’A.Gen. A.
La recherche des actes
La généalogie, elle, continue de faire des émules. L’association, qui compte près de 700 adhérents, n’a rien perdu de son dynamisme pendant la crise sanitaire. Elle a même eu tendance à faire augmenter le nombre d’adhérents, mesure le président. Les gens ont eu du temps pour faire leur généalogie.
L’A.Gen. A est là pour les aider, rappelle-t-elle. Avec sa base de données, l’association dispose d’un outil précieux pour la recherche des actes. Elle compte aussi dans ses ressources des gens capables de déchiffrer les actes en latin, informe Jean-Paul Augelle. L’A.Gen. A forme encore ses adhérents à différentes pratiques (en visio ou en présentiel) comme la paléographie ou l’utilisation des logiciels, elle accompagne au besoin les démarches à réaliser aux Archives départementales dans la recherche notamment des actes notariés.